27 au 30 janvier 2020
Pour redonner du souffle à nos démocraties,
la participation des habitants ou des
usagers aux décisions qui les concernent est présentée
comme la solution par de nombreuses structures.
Mais est-ce au point de partager le pouvoir et de donner
une véritable place aux invisibles de nos sociétés,
y compris dans nos milieux associatifs ?
Sommes-nous prêts à entendre ces revendications,
à reconnaître les lieux de conflits ? Pouvoir d’agir,
community organizing, changement social local…
quelles réalités et surtout quelles méthodes pour
construire une vision collective et bousculer l’ordre
établi ?